Cabinet Legrand
15, rue de la Demi-Lune
86000 Poitiers
Tél. 05 49 60 20 60
Fax : 05 49 60 34 01
legrand@wanadoo.fr







    EN SAVOIR PLUS >  FICHES-EXPERT

  Le régime juridique de l'entrepreneur individuel à responsabilité limitée

La loi n° 2010-658 du 15 juin 2010 relative à l’entrepreneur individuel à responsabilité limitée (EIRL) a été publiée le 16 juin dernier. Son entrée en vigueur est toutefois suspendue à la publication d’une ordonnance, à paraître au plus tard le 16 décembre 2010, qui doit notamment adapter au patrimoine affecté la réglementation relative à la prévention et au traitement des difficultés des entreprises, de façon à permettre à l’entrepreneur individuel à responsabilité limitée d’en bénéficier. Par ailleurs, certaines dispositions nécessitent la prise d’un décret d’application.
Grâce à ce nouveau régime de protection, tout entrepreneur individuel pourra, sans créer une société, affecter une partie de son patrimoine à l’exercice de son activité professionnelle, le séparant ainsi de son patrimoine personnel. Intérêt de l’opération : seul ce patrimoine professionnel sera exposé aux poursuites des créanciers de l’entreprise.

Rappel faute d’affecter une partie de ses biens personnels à son activité professionnelle, l’entrepreneur individuel continuera de répondre de ses dettes professionnelles sur l’ensemble de son patrimoine, tant professionnel que personnel.

La création d'une entreprise individuelle à responsabilité limitée découlera du dépôt d’une simple déclaration d’affectation au registre de publicité légale auquel l’entrepreneur est tenu de s’immatriculer (registre du commerce et des sociétés pour les commerçants, répertoire des métiers pour les artisans) ou au greffe du tribunal de commerce pour les professionnels libéraux et les auto-entrepreneurs dispensés de s’immatriculer.
Cette déclaration devra mentionner l’ensemble des biens, droits, obligations et sûretés, dont l’entrepreneur est titulaire, « nécessaires » à l’exercice de l’activité professionnelle, ainsi que ceux simplement « utilisés » pour les besoins de l’activité (par exemple un bien à usage mixte, personnel et professionnel), que l’entrepreneur décidera d’y affecter.

À noter l’affectation d’un bien immobilier nécessitera l’intervention d’un notaire.

Pour son activité professionnelle, l'entrepreneur devra ouvrir un (ou plusieurs) compte(s) bancaire(s) dédié(s) à cette activité professionnelle. Par ailleurs, il devra tenir une comptabilité autonome et la déposer chaque année au lieu d’enregistrement de sa déclaration d'affectation.

Précision les comptes annuels ainsi déposés vaudront actualisation de la composition et de la valeur du patrimoine affecté.

En pratique, l’entrepreneur ayant constitué une EIRL devra mentionner sur ses documents professionnels une dénomination à laquelle seront incorporés son nom, précédé ou suivi des mots « entrepreneur individuel à responsabilité limitée » ou des initiales « EIRL ».

haut de page

Les entrepreneurs concernés

Le régime de l’EIRL est ouvert à tout entrepreneur individuel, c’est-à-dire au commerçant, à l’artisan, au professionnel libéral, à l’agriculteur et à l’auto-entrepreneur.
Étant précisé que ce statut peut être adopté lors de la création de l’entreprise ou en cours d’activité.
Par ailleurs, la loi permet désormais à un mineur non émancipé de créer ou de gérer une entreprise individuelle à responsabilité limitée (ou une société unipersonnelle), sous certaines conditions.

Attention le mineur non émancipé ne peut toujours pas exercer d’activité commerciale. Par conséquent, il ne peut pas créer ou gérer une EIRL de nature commerciale. Il peut, en revanche, exercer une activité civile, artisanale, voire libérale, si les règles de la profession choisie le lui permettent.

Ainsi, le mineur non émancipé qui souhaite créer une EIRL doit être autorisé à prendre les actes d’administration nécessaires pour sa création et sa gestion, selon le cas, par ses deux parents qui exercent en commun l’autorité parentale, par son administrateur légal sous contrôle judiciaire avec l’autorisation du juge des tutelles ou par son tuteur autorisé par le conseil de famille. L’autorisation peut être donnée par le biais d’un acte sous seing privé ou d’un acte notarié et doit comporter la liste des actes d’administration que peut accomplir le mineur. Les actes de disposition (achat, vente, don, etc.), quant à eux, ne peuvent être accomplis que par les deux parents du mineur, par son administrateur légal autorisé par le juge des tutelles ou par le tuteur autorisé par le conseil de famille.

À noter un mineur émancipé, quant à lui, peut désormais devenir commerçant sur autorisation du juge des tutelles au moment de la décision d'émancipation, ou sur autorisation du président du tribunal de grande instance s'il en fait la demande après avoir été émancipé. Ce n’est qu’à cette condition qu’il pourra gérer et administrer une EIRL dont l’activité est commerciale.

haut de page

La déclaration d’affectation

L’EIRL est donc constituée par le simple dépôt d’une déclaration d’affectation au registre de publicité légale auquel l’entrepreneur est tenu de s’immatriculer, c’est-à-dire au registre du commerce et des sociétés pour les commerçants et au répertoire des métiers pour les artisans. En cas de double immatriculation, l’entrepreneur choisit le registre auprès duquel il effectue sa déclaration d’affectation, mention en étant alors portée sur l’autre registre.

Précision la déclaration d’affectation des professionnels libéraux, des agriculteurs et des auto-entrepreneurs doit être déposée au greffe du tribunal de commerce (ou du tribunal de grande instance statuant en matière commerciale) du lieu de leur établissement principal.

En pratique, cette déclaration doit comporter :
- la mention de l’objet de l’activité professionnelle à laquelle est affecté le patrimoine ;
- un état descriptif des biens, droits, obligations ou sûretés affectés à l’activité professionnelle, en nature, qualité, quantité et valeur ;
- le cas échéant, l’acte notarié en cas d’affectation d’un bien immobilier ;
- le document justifiant de l’accord exprès du conjoint ou du co-indivisaire en cas d’affectation de biens communs ou indivis ;
- le rapport d’évaluation établi par un commissaire aux comptes, un expert-comptable, une association de gestion et de comptabilité ou un notaire (pour les seuls biens immobiliers), choisi par l’entrepreneur, en cas d’affectation d’un bien d’une valeur déclarée supérieure à un montant fixé par décret.

Attention en l'absence de recours à un commissaire aux comptes, un expert-comptable, une association de gestion et de comptabilité ou un notaire, ou en cas de surestimation de la valeur d’un bien affecté, l’entrepreneur est responsable envers ses créanciers, pendant une durée de 5 ans, sur l’ensemble de ses biens, affectés et non affectés, à hauteur:
- de la différence entre la valeur réelle du bien au moment de l’affectation et la valeur déclarée en cas de non recours à l’un de ces évaluateurs ;
- de la différence entre la valeur proposée par l’évaluateur et la valeur déclarée par l’entrepreneur en cas de surestimation.

Après sa déclaration, l’entrepreneur peut affecter à son patrimoine professionnel un ou plusieurs autres biens. Cette déclaration étant soumise aux mêmes conditions de forme et de publicité que la déclaration initiale (et accompagnée, le cas échéant, d’une évaluation du ou des biens affectés).

haut de page

Les biens affectés à l’activité professionnelle

Le patrimoine affecté est composé de l’ensemble des biens, droits, obligations ou sûretés dont l’entrepreneur est titulaire, qui sont nécessaires à l’exercice de son activité professionnelle.
Par ailleurs, l’entrepreneur peut y ajouter les biens qui sont simplement « utilisés » pour les besoins de son activité (par exemple, des biens à usage tant professionnel que personnel, comme un véhicule).

Précision l’entrepreneur qui affecte à son activité professionnelle des biens communs (c’est-à-dire acquis pendant le mariage) ou des biens indivis (résultant d’une succession ou d’une donation par exemple) doit justifier de l’accord exprès de son conjoint ou de ses co-indivisaires, ainsi que de leur information préalable relative aux droits des créanciers professionnels sur le patrimoine affecté. À défaut, l’affectation de ces biens leur est inopposable.
Et attention : un même bien commun ou indivis ne peut être attribué qu’à un seul patrimoine d’affectation.

haut de page

Les effets de la déclaration d’affectation

La déclaration d’affectation est opposable aux créanciers dont les droits sont nés après son dépôt.
Elle produit également ses effets vis-à-vis des créanciers dont la créance est née avant son dépôt à condition que l’entrepreneur le mentionne dans la déclaration et en informe les créanciers concernés dans des conditions qui seront fixées ultérieurement par décret. Sachant que ces créanciers pourront former opposition en justice dans un délai qui doit également être fixé par décret.

Précision le tribunal statue ensuite sur l’opposition. Soit il la rejette, soit il la juge recevable et ordonne alors le remboursement des créances ou bien la constitution de garanties si l’entrepreneur en offre et si elles sont jugées suffisantes. À défaut de remboursement des créances ou de constitution de garanties, la déclaration d’affectation est inopposable aux créanciers dont l’opposition a été admise. Ce qui signifie que ces créanciers peuvent agir sur l’ensemble des biens de l’entrepreneur.

Une fois la déclaration d’affectation déposée, seul le patrimoine affecté peut faire l’objet de poursuites de la part des créanciers de l’entreprise auxquels cette déclaration est opposable, à l’exclusion de tout autre bien de l’entrepreneur.
Le patrimoine « non affecté » (c’est-à-dire les biens qui ne figurent pas dans l’état descriptif joint à la déclaration d’affectation), quant à lui, constitue le seul gage des créanciers personnels de l’entrepreneur. En cas d’insuffisance de ce patrimoine, ces derniers peuvent toutefois tenter d’obtenir le remboursement de leurs créances sur les bénéfices réalisés par l’entreprise lors du dernier exercice clos.

Attention en cas de fraude ou de manquement grave à ses obligations comptables ou aux dispositions régissant la composition du patrimoine affecté, l’entrepreneur redevient responsable sur l’ensemble de ses biens.

haut de page

Les effets de la déclaration d’affectation complémentaire

La loi prévoit que l’entrepreneur individuel à responsabilité limitée peut ajouter des biens supplémentaires à son patrimoine affecté, postérieurement à sa constitution. Ce qui constitue une souplesse pour l’entrepreneur qui peut ainsi élargir le patrimoine initialement affecté pour rassurer les créanciers professionnels en leur offrant des garanties plus étendues. Ces biens entrent donc ensuite dans le giron des créanciers professionnels de l’entrepreneur dont la créance est née postérieurement au dépôt de la déclaration complémentaire.

Question cette déclaration d’affectation complémentaire est-elle opposable aux créanciers dont la créance est née antérieurement à son dépôt ? Et si oui, ces créanciers peuvent-ils former opposition ? La loi étant muette en la matière, la question reste en suspens.

haut de page

L’extinction du patrimoine affecté

Le patrimoine affecté disparaît en cas de renonciation de l’entrepreneur à l’affectation ou en cas de décès de ce dernier. Toutefois, en cas de décès ou si la renonciation a lieu en même temps que la cessation de l’activité professionnelle, les créanciers (ceux auxquels la déclaration d’affectation est opposable) conservent pour seul gage celui qui était le leur au moment de la renonciation ou du décès.
Pour renoncer à l’affectation, l’entrepreneur doit en faire porter mention sur le registre auquel la déclaration d’affectation a été déposée.
De même, en cas de décès de l’entrepreneur, un héritier ou un ayant droit doit en faire porter mention sur ce registre. Sachant que l’affectation est maintenue si l’un des héritiers ou ayants droit de l’entrepreneur individuel manifeste son intention de poursuivre l’activité professionnelle à laquelle le patrimoine est affecté. Ce dernier doit alors en faire porter la mention sur le registre auquel la déclaration d’affectation a été déposée dans les 3 mois à compter de la date du décès. Il doit ensuite, après le partage et la vente, le cas échéant, de certains biens affectés pour les besoins de la succession, procéder à une déclaration de reprise au lieu de la déclaration d’affectation.

haut de page

La transmission du patrimoine affecté

L’entrepreneur peut céder à titre onéreux, transmettre à titre gratuit à une autre personne ou apporter en société l’intégralité du patrimoine affecté.

Cession ou transmission à une personne physique
La cession à titre onéreux ou la transmission à titre gratuit entre vifs du patrimoine affecté à une personne physique entraîne son transfert dans le patrimoine du repreneur avec maintien de l’affectation. En pratique, l’entrepreneur cédant ou donateur doit déposer une déclaration de transfert au registre de dépôt de la déclaration constitutive d’affectation. Par ailleurs, la cession ou la transmission doit faire l’objet d’une publicité dans des conditions fixées par décret. À défaut, elle est inopposable aux tiers.
Un état descriptif des biens, droits, obligations ou sûretés composant le patrimoine affecté est joint à la déclaration de transfert.

Cession ou apport à une personne morale
La cession ou l’apport du patrimoine affecté à une personne morale entraîne son transfert dans le patrimoine de celle-ci, mais sans maintien de l’affectation. Elle doit faire l’objet d’un avis publié dans des conditions fixées par décret. À défaut, elle est inopposable aux tiers.
Un état descriptif des biens, droits, obligations ou sûretés composant le patrimoine affecté est joint à l’avis de transfert.

Opposition des créanciers à la cession, à la transmission ou à l’apport
Le repreneur ou la société bénéficiaire de l’apport du patrimoine affecté deviennent débiteurs des créanciers de l’entrepreneur en lieu et place de celui-ci.
Toutefois, les créanciers de l’entrepreneur dont les droits sont nés avant la cession, la transmission à titre gratuit entre vifs ou l’apport en société peuvent s’opposer en justice au transfert du patrimoine affecté dans un délai fixé par décret. Si cette opposition est jugée recevable par le juge, elle permet aux créanciers d’obtenir soit le remboursement de leurs créances soit la constitution de garanties par le cessionnaire. À défaut de remboursement ou de constitution des garanties ordonnées par le juge, la transmission du patrimoine affecté leur est inopposable.

À noter l’opposition formée par un créancier n’a toutefois pas pour effet d’interdire la transmission du patrimoine affecté.

haut de page

L’entrée en vigueur du dispositif

La mise en place du régime de l’EIRL nécessite la publication, d’ici le 16 décembre 2010, d’une ordonnance destinée à :
- adapter au patrimoine affecté la réglementation relative à la prévention et au traitement des difficultés des entreprises ;
- adapter les réglementations en matière de droit des sûretés, de droit des procédures civiles d’exécution et de surendettement des particuliers.

Ainsi, ce nouveau régime n’entrera en vigueur qu’en 2011.

haut de page

Le maintien de la déclaration d’insaisissabilité

Contrairement à ce que prévoyait le projet de loi initial, le régime de l’EIRL ne met pas fin au dispositif de la déclaration d’insaisissabilité, laquelle permet à l’entrepreneur individuel de mettre sa résidence principale et tout bien immobilier non affecté à un usage professionnel à l’abri des poursuites de ses créanciers professionnels.
Il sera donc toujours possible pour un entrepreneur individuel d’opter pour ce type de protection ou même de cumuler les deux dispositifs (EIRL et déclaration d’insaisissabilité).

haut de page

Constitution de plusieurs patrimoines affectés

À partir du 1er janvier 2013, un entrepreneur individuel pourra constituer plusieurs patrimoines affectés. Reste à déterminer les conditions et les modalités dans lesquelles cette faculté pourra être exercée : l’entrepreneur devra-t-il procéder à de multiples déclarations d’affectation, ouvrir un compte bancaire et tenir une comptabilité pour chaque patrimoine affecté ? À suivre…

haut de page

Article du 12/10/2010 - © Copyright SID Presse - 2010




En savoir plus...

Report en arrière des déficits : notion de bénéfice d’imputation
10/05/2011
Le nouveau mode de calcul de la réduction Fillon
10/05/2011
L’augmentation des engagements des associés
10/05/2011
Trouvez de nouveaux clients grâce aux places de marché
10/05/2011
Le régime matrimonial de la participation aux acquêts
06/05/2011
Les fonds socialement responsables
09/02/2011
Le Mandat de protection future
09/02/2011
Utiliser les comparateurs pour faire connaître ses produits sur Internet
07/02/2011
Méfiez-vous des « renifleurs » !
07/02/2011
Fixation du loyer du bail commercial renouvelé
07/02/2011
Révision du loyer du bail commercial en cours
07/02/2011
Perte de la moitié du capital social
31/01/2011
Les sociétés coopératives ouvrières de production (Scop)
31/01/2011
La contre-visite médicale diligentée par un employeur
31/01/2011
Location de locaux professionnels et option à la TVA
31/01/2011
Investir dans les trackers
18/11/2010
Faut-il passer à la téléphonie sur IP ?
17/11/2010
La clause de réserve de propriété
17/11/2010
Précisions sur les modalités du droit individuel à la formation
17/11/2010
La déclaration européenne des services
17/11/2010
La taxe sur les véhicules de sociétés
15/11/2010
Le remboursement de la TVA payée au sein de l’Union européenne
10/11/2010
Le régime juridique de l'entrepreneur individuel à responsabilité limitée
12/10/2010
L’imposition de l’entrepreneur individuel à responsabilité limitée
12/10/2010
Recrutement d'un salarié : les règles juridiques à respecter
12/10/2010
Twitter : un outil pour l’entreprise ?
07/09/2010
Le reclassement à l’étranger d’un salarié licencié pour motif économique
07/09/2010
Apport en société d’une entreprise individuelle
07/09/2010
Ordres de Bourse : mode d’emploi
13/07/2010
Un iPad ? Pour quoi faire ?
13/07/2010
Le sort du bail commercial en cas de procédure collective du locataire
13/07/2010
La situation du salarié victime d’une inaptitude d’origine professionnelle
13/07/2010
Exonération des intérêts de retard : la technique de la mention expresse
12/07/2010
Contrats d’assurance-vie et ISF
22/06/2010
Maîtriser Windows 7
22/06/2010
La société en participation
21/06/2010
Portée d’une transaction
21/06/2010
Les modalités de décompte des effectifs d’une entreprise
18/06/2010
Exonération des cessions d’entreprise en fonction de leur valeur
18/06/2010
La réforme de la TVA immobilière
18/06/2010
Les rendements 2009 des contrats d'assurance-vie en euros
12/05/2010
Le point sur le « Cloud computing »
12/05/2010
Comment organiser la prise des congés payés d'été
12/05/2010
Quand y a-t-il harcèlement moral ?
12/05/2010
La clause de non-concurrence en droit commercial
12/05/2010
La déductibilité des frais d'acquisition de titres de sociétés soumises à l'IS
12/05/2010
Acheter des « mots-clés » pour booster son site internet
14/04/2010
La sous-location de locaux commerciaux
14/04/2010
Le rescrit social
14/04/2010
Réduction de capital et droits d'enregistrement
14/04/2010
Réduction d'impôt « Madelin »
14/04/2010
Comment référencer un site dans un moteur de recherche
28/01/2010
Déposer un nom de domaine
28/01/2010
Les avantages fiscaux de la holding de reprise
28/01/2010
La délégation de pouvoirs dans les sociétés
28/01/2010
La nouvelle procédure d'instruction des accidents du travail
28/01/2010
La publicité des comptes des associations et des fondations
21/01/2010
Mieux utiliser sa boîte aux lettres électronique
21/01/2010
La convention d'occupation précaire
08/01/2010
Combattre le stress au travail
07/01/2010
Le régime fiscal de la location en meublé
07/01/2010
Le nouveau statut de loueur en meublé professionnel
07/01/2010
Les fonds de dotation
05/01/2010
Le taux de participation à la formation continue
05/01/2010
Les nouvelles modalités du cumul emploi-retraite
21/07/2009
Maintien de la prévoyance d'entreprise au profit des ex-salariés
21/07/2009
Redressement fiscal et sursis de paiement
21/07/2009
Option des sociétés de capitaux à l'IR
21/07/2009
Pénalités de retard pour non-paiement d'une facture
21/07/2009
Mise en réserve des bénéfices d'une société par l'usufruitier
21/07/2009
Gérer une flotte de portables
21/07/2009
Report des congés payés d'un salarié malade
11/06/2009
Vérification de comptabilité et contrôle inopiné
11/06/2009
Linux : comment donner une nouvelle vie à un PC
12/05/2009
Information sur la santé et la sécurité au travail
07/04/2009
L'option pour le remboursement mensuel de la TVA
07/04/2009
L'assurance-vie, instrument de financement
07/04/2009
Soldes, liquidations, ventes au déballage : les nouvelles règles du jeu
07/04/2009
Le point sur les NetTops
07/04/2009
Réforme du droit des entreprises en difficulté
10/03/2009
Délais de paiement : la nouvelle règle du jeu
10/03/2009
La souscription au capital de SOFICA
10/03/2009
Compte et dépôt à terme
05/02/2009
Le point sur le SPAM
05/02/2009
Entreprises nouvelles et zones d'activité
12/01/2009
L'épargne solidaire
12/01/2009
Le point sur les virus informatiques
12/01/2009
L'obligation d'information des salariés sur les contrats d'assurance de groupe
11/12/2008
Déplafonnement du loyer du bail renouvelé
11/12/2008
Investissements locatifs dans le tourisme
11/12/2008
Les assistants électroniques anti-radars
11/12/2008
Quand la bureautique devient « écolo »
17/11/2008
Le droit de rétractation de l'acquéreur d'un bien immobilier
07/10/2008
Comment déterminer la convention collective de branche applicable à l'entreprise ?
04/09/2008
Cession d'actions : le délai pour procéder au rachat après un refus d'agrément
04/09/2008
Trouver un fichier en toute simplicité sur son PC
04/09/2008
Caution du dirigeant : les risques fiscaux
10/07/2008
Assurance-vie : une épargne toujours disponible ?
10/07/2008
Comment bien réagir face au fisc ?
12/06/2008
Gare à la durée du cautionnement souscrit par un dirigeant au profit de sa société
19/05/2008
Comment bien utiliser Google
19/05/2008




© 2009-2024 - Les Echos Publishing - mentions légales et RGPD